mercredi 7 octobre 2020

Châtiment de la Yù Scribe (Religions d'ailleurs et de demain)

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La nouvelle, « Le châtiment de la Yù Scribe », sélectionnée par Éric Lysøe pour les éditions Arkuiris, fait partie du même univers de la Nouma, déjà abordé par deux autres nouvelles publiées cette année :

  •  « Mue cotonnière » (Galaxies n°66)
  • « La Pointe du roncier » (La voie des voix)

 

Le Vagabond de la planète rouge (Voyage O Cœur)

 
Ma nouvelle, « Le Vagabond de la planète rouge », a été sélectionnée dans l'anthologie créée lors du festival Livres O Cœur 2020.
Elle s'inscrit dans la continuité d'un univers dont fait partie d'autres récits, Thalie des morts, et mon roman « Les Sacrifiés », en explorant les conséquences de la glaciation de la Terre pour les habitants de Mars.


vendredi 28 août 2020

La pointe du Roncier (La Voie des Voix, convention SF 2020)

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Les Orléonautes ont tenu dès l'élection du projet, à renouer avec leur idée de 2012 : créer une anthologie et la distribuer à tous les inscrits de la convention de Science-Fiction 2020.
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Son titre, « LA VOIE DES VOIX », se réfère aux voix de Jeanne d'Arc, et à ces voix plus discrètes que sont les traductrices et traducteurs, que nous avons mis au cœur de la convention.
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L'anthologie de 2020, illustrée par Thierry Cardinet, comporte donc des textes des invité(e)s de la convention : Sylvie Denis, Sara Doke, Jean-Daniel Brèque (trad d'une nouvelle de Barry Pain), Lionel Davoust, Claude Ecken, Alain Grousset, Michel Pagel, d'une part, et d'autre part des participations des Orléonautes : Laurianne Gourrier, Noëlle Mirande, Stéphane Desienne, Franck Ferric, Chris T. Guerre Taïaut et moi-même, Bernard Henninger avec une nouvelle de science fiction intitulée :
« LA POINTE DU RONCIER »
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(pour se la procurer, voir éditions Blogger de Loire)

samedi 18 juillet 2020

Mue cotonnière



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Notre genre a besoin souvent de prendre du champ d’avec un imaginaire trop contingent à notre réalité. Et pourtant, notre réalité est bien là, dans les lignes et le texte de Bernard Henninger, en passager du souffle de son propre rêve, qui nous construit un autre monde. Un de ceux qui existent peut-être, car il a sa logique, dans l’une des milliards de milliards de planètes extrasolaires dont on commence juste à dénombrer les premiers milliers. Bernard est comme chacun de nous : il sait bien qu’il ne foulera pas lui-même ces terres étrangères. Alors, refusant cette destinée défaitiste, il s’en saisit au contraire, et, de son imagination, en forge le peuple et la vie... Et si, chaque fois qu’un poète le rêve, naissait un monde ?
Pierre Gevart